J’imagine l’auditeur de cette nouvelle symphonie regardant la Terre depuis l’espace, et se demandant si l’espèce humaine en avait disparu…Ces quelques rotations de notre petite planète dans l’espace immense sont très émouvantes, car nous savons que nous y étions (elles datent au plus de l’avant-veille).
Je propose aux orchestres symphoniques de présenter à leur public une expérience sensorielle inédite, un “ciné-concert” très original, qui fait une belle ouverture.